''Son imaginaire sillonne tous les sentiers, foisonne d’idées de grandeur. Tout est possible. Le matériel s’accumule au cas. Sa création a besoin d’espace, de hauteur, de ciel bleu à perte de vue. Il dessine les plans sur papier, mais sur le chantier, les mesures sont aléatoires. Il aime quand c’est précaire, un peu bancal. Pour lui, l’imperfection est synonyme de poésie. Il n’intellectualise pas sa démarche. Il agit à l’instinct, sans intentions préétablies, si ce n’est que de faire pencher la balance, juste ce qu’il faut, du côté de l’onirisme.''
Adélard