Dessin de mode
Installation
Peinture
Performance
Techniques mixtes
"Atikamekw par son père et Québécoise par sa mère, la double identité d’Eruoma Awashish lui permet de mieux saisir les différences qui distinguent ces deux peuples et de créer des espaces de dialogues à travers ses œuvres. Ayant vécue dans la communauté d’Opitciwan, de Wemotaci et de Mashteuiatsh, l’artiste a une grande appartenance à sa culture autochtone. Détentrice d’un baccalauréat en art de l’Université du Québec à Chicoutimi en 2009, elle a depuis participé à de nombreux événements artistiques dont le Symposium international d’art contemporain de Baie-Saint-Paul. Plus récemment, elle a participé à la Biennale de d’art contemporain autochtone (BACA) et elle a présenté, en 2018, une installation multimédia au Musée des beaux-arts de Montréal. En plus de sa riche pratique en arts visuels, elle est conservatrice en arts autochtones au Musée Amérindien de Mashteuiatsh depuis 2017."
Eruoma Awashish; https://centrebang.ca/programmation/eruoma-awashish/
"Détentrice d’un baccalauréat en art interdisciplinaire de l’Université du Québec à Chicoutimi, Eruoma Awashish vise à faire connaître davantage sa culture. Sa double identité, Atikamekw par son père et Québécoise par sa mère, lui permet de mieux saisir les différences qui distinguent les deux peuples et de créer des espaces de dialogues à travers ses œuvres. "
https://www.productionsfeuxsacres.ca/
e travail d’Eruoma Awashish parle de métissage et de métamorphose. La souffrance et la blessure sont des thématiques récurrentes dans sa pratique, car selon l’artiste, la souffrance peut devenir un passage vers la transformation et le dépassement de soi. Ses oeuvres sont empreintes de spiritualité, de symbolisme et de syncrétisme. Elle détourne certains symboles de la religion catholique et pour se réapproprier sa propre spiritualité. Elle croit que : « en écartant la doctrine et le côté institutionnel des religions, c’est la vraie spiritualité émerge ». Par ces symboles qui s’entrecroisent et s’entrechoquent, ses créations parlent à la fois de contraste et de métissage, de dualité et d’équilibre, de souffrance et sérénité, de blessures et de guérisons. Pour la créatrice, « une culture qui survit au fil des siècles, c’est une culture qui s’adapte et évolue. La culture des Premières Nations est une culture forte, car elle ne s’est jamais laissée complètement absorber par la culture dominante, et ce malgré les tentatives d’assimilation, notre culture subsiste et évolue. Elle se métamorphose ».
2015 - Prix Artiste-Artisan, Gala reconnaissance de l'entrepreneuriat touristique autochtone au Québec 2010 - Tcikitanaw, prix de la Revue Séquences, mention honorable, Festival Présence Autochtone
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